Le dessin de Mai

Design

MuscAdvil, le muscadet qui ne fait pas mal à la tête !

Pas de censure ! dans une séance de créativité, on génère un maximum d’idées, le farfelu est bienvenu, on cherche avant tout la quantité, c’est ce qu’on appelle la phase de divergence. Vient ensuite une phase de convergence qui permet de recroiser la réflexion avec l’objectif de la journée et la plateforme de marque pour qu’une idée donne naissance à un concept.

La clé d’un workshop réussi est souvent liée aux talents de l’animateur de cette journée. Je participe régulièrement à ces ateliers de co-création en tant qu’idéateur ou roughman et c’est toujours un vrai plaisir ! mais j’ai pu observer de grandes variations dans la pertinence des concepts obtenus. Un tel atelier implique plusieurs membres de l’entreprise durant toute une journée, c’est un investissement important pour préparer les produits ou services qui seront développés durant plusieurs mois, il est donc précieux de s’appuyer sur un animateur chevronné plutôt que de tenter de le faire en interne. S’assurer que tout le monde participe, veiller au timing, varier les exercices, recentrer la recherche sur les objectifs sans casser la dynamique…
L’animateur va également gérer toute la phase amont (imagination des exercices de créa appropriés, « recrutement » des bons profils pour la journée (clients, experts) nécessaires à la bonne tenue du workshop, ainsi que la restitution des concepts et leur approfondissement.

Si il n’y a pas de recette pour être créatif, il existe des méthodes pour encadrer la créativité et s’assurer de la pertinence d’une innovation.